N.S.D.A.P.
retour à la Seconde Guerre Mondiale
Comme le parti fasciste italien, le parti national-socialiste allemand a adopté le culte du chef, celui du Führer Adolf Hitler, en qui s’incarne la volonté de libérer l’Allemagne de la «honte de Versailles», et de lui redonner le premier rang en Europe. Hitler se voua à l’agitation nationaliste et anima, dès 1920, le parti national-socialiste.
Les bases du parti sont composées de la doctrine qu’Hitler avait énoncé dans Mein Kampf, son seul et unique livre. Le parti national-socialiste possède son organisation militaire, les S.A.(Strumabteilungen : sections d’assaut) en chemises brunes, les S.S.(Schutzstaffeln : brigades de protection, troupe d’élite qui garde le Führer ).
Il a son drapeau, rouge et blanc, à la croix gammée noire (la svastika). La propagande nationale-socialiste est habilement menée par le docteur Joseph Goebbels. Elle frappe l’imagination des foules. Ce sont des rassemblements de 100 000 hommes, alignés sous des bannières gigantesques, acclamant le Führer qui les harangue de sa voix rauque ( la voix du Führer a certainement beaucoup contribué à son succès); des retraites aux flambeaux dans les rues du vieux Nuremberg, des défilés massifs au son des musiques militaires. C’est l’appel aux passions primitives : haine des juifs, culte de la force, volonté de puissance.
Cette propagande exerce un attrait particulier sur les chômeurs, les classes moyenne ruinées par la crise, la jeunesse, tous ceux pour qui la république de Weimar signifie la médiocrité ou la misère et qui rendent le « Diktat » de Versailles responsable de tous les malheurs de l’Allemagne. Le national-socialisme est au fond moins une doctrine qu’une mystique : la foi en un Führer qui sauvera l’Allemagne.
C’est aussi l’abandon de tout esprit critique, la condamnation de la raison, de la conscience- « ma conscience s’appelle Adolph Hitler », déclare son adjoint le maréchal Goering – la négation de l’esprit chrétien de charité, de « tolérance » et « d’amour du prochain ». En fait il faut bien se rendre compte que l’idéologie du parti repose uniquement sur les idées, les doctrines, d’Hitler.
Extraits de A. Hitler, Mon Combat (Mein Kampf) , Ed. latines, Paris 1934.(Citations tirées de Cliotext)
But défini par Hitler (ch. VIII) : « Ce qui est l’objet de notre lutte, c’est assurer l’existence et le développement de notre race et de notre peuple, c’est de nourrir ses enfants et de conserver la pureté du sang, la liberté et l’indépendance de la patrie, afin que notre peuple puisse mûrir pour l’accomplissement de la mission qui lui est destinée par le Créateur de l’univers.«
Le projet nazi (ch. XII) :
« 1. Pour gagner la masse au relèvement national, aucun sacrifice n’est trop grand (…)
2. L’éducation nationale de la masse ne peut être réalisé que par le moyen indirect du relèvement social (…)
3. La nationalisation de la masse ne peut, en aucun cas, être obtenue par des demi-mesures ou par un apostolat timide, mais par une concentration d’efforts poussés à fond, avec fanatisme (…)
4. On ne peut gagner l’âme d’un peuple que si, en même temps l’on lutte pour atteindre son propre but, on veille à détruire tout ennemi qui cherche à y faire obstacle (…)
5. Toutes les grandes questions de notre temps sont des questions du moment (…) une cause entre toutes présente pourtant seule une importance fondamentale : celle du maintien de la race dans l’organisme social (…)
6. Tous les intérêts particuliers aux différentes conditions ou professions ne doivent en rien entraîner une séparation entre les classes (…)
7. Pour que la propagande soit efficace, il faut qu’elle s’exerce dans une seule direction (…)
8. Le moyen de réussir un mouvement de réforme politique ne sera jamais d’éclairer ou d’influencer les forces dirigeantes : ce qu’il faut, c’est conquérir la puissance politique (…)
9. Le mouvement nouveau est dans son essence et dans son organisation intime antiparlementaire (…) partout le chef est institué par le chef immédiatement supérieur.
10. Notre but n’est pas une réforme religieuse, mais une réorganisation politique de notre peuple (…) ce n’est ni fonder une monarchie, ni renforcer la république, mais établir un Etat germanique. »
Autres extraits d’Hitler, Mein Kampf
Etat populaire et race pure
« L’Etat populaire doit instaurer la race au centre de la vie et prendre soin de la garder pure (…), veiller à ce que seuls les individus bien portants aient des enfants. Car la pire faute est d’en mettre au monde lorsqu’on est malade ou malsain; rien n’est alors plus honorable que de s’en abstenir. De même, il faut tenir pour répréhensible de priver la nation d’enfants bien portants. C’est là que l’Etat populaire doit se comporter en protecteur d’un avenir millénaire, devant lequel les désirs et l’égoïsme sont insignifiants et n’ont qu’à s’incliner (…). Un Etat populaire doit, par conséquent, ne pas tolérer que le mariage reste un perpétuel outrage à la race, mais au contraire le consacrer comme une institution appelée à produire des êtres faits à l’image du Seigneur, et non pas des monstres mi-hommes, mi-singes. »
Espace vital
« Le même sang appartient à un même empire. Le peuple allemand n’aura aucun droit à une activité politique coloniale tant qu’il n’aura pu réunir ses propres fils en un même Etat. Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, s’il s’avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d’acquérir les terres étrangères. (…)
La politique extérieure de l’Etat raciste doit assurer les moyens d’existence sur cette planète de la race que groupe l’Etat, en établissant un rapport sain, viable et conforme aux lois naturelles entre le nombre et l’accroissement de la population d’une part, l’étendue et la valeur du territoire d’autre part (…). Seul un espace suffisant sur cette terre assure à un peuple la liberté de l’existence. (…)
Aussi, nous autres nationaux-socialistes, biffons délibérément l’orientation de la politique extérieure d’avant-guerre. Nous commençons là où l’on avait fini il y a six cents ans. Nous arrêtons l’éternelle marche des Germains vers le Sud et vers l’Ouest de l’Europe, et nous jetons nos regards sur l’Est (…). »
Rôle de l’armée dans la nation
A. »Comme facteur de force, à cette époque où commence la décomposition lente et progressive de notre organisme social, nous devons pourtant inscrire : l’armée
C’était l’école la plus puissante de la nation allemande et ce n’est pas sans raison que s’est dirigée la haine de tous les ennemis précisément contre cette protectrice de la conservation de la nation et de sa liberté. Aucun monument plus éclatant ne peut être voué à cette institution, et à elle seule, que l’affirmation de cette vérité qu’elle fut calomniée, haïe, combattue, mais aussi redoutée par tous les gens inférieurs.
B. Le fait que, à Versailles, la rage des détrousseurs internationaux des peuples se dirigea, en premier lieu, contre la vieille armée allemande, désigne à coup sûr celle-ci comme le refuge de la liberté de notre peuple, opposée à la puissance de l’argent.
Sans cette force qui veille sur nous, le traité de Versailles, dans tout son esprit, se serait depuis longtemps accompli à l’égard de notre peuple. Ce que le peuple allemand doit à l’armée peut se résumer en un seul mot : tout. «
Hitler, Mein Kampf, p. 278-279
Le peuple et la race
A. »Certaines vérités courent tellement les rues que, précisément pour cela, le vulgaire ne les voit pas, ou du moins ne les reconnaît pas. Il passe le plus souvent devant elles sans les voir, ainsi qu’il reste aveugle devant des vérités aveuglantes, et qu’il est extrêmement surpris quand quelqu’un vient soudain à découvrir ce que tous devraient pourtant savoir. Il y a autour de nous, par centaines de milliers, des problèmes aussi simples à résoudre que l’œuf de Colomb, mais ce sont précisément les hommes du genre de Colomb qu’on rencontre assez rarement.
C’est ainsi que tous les hommes, sans exception, se promènent dans le jardin de la nature, se figurent tout connaître et savoir, et se comportent comme des aveugles à peu d’exceptions près vis-à-vis de l’un des principes les plus saillants de son action : celui de l’existence de caractères organiques distinguant les espèces entre lesquelles se répartissent tous les êtres vivants sur cette terre.
B.L’observation la plus superficielle suffit à montrer comment les formes innombrables que prend la volonté de vivre de la nature sont soumises à une loi fondamentale et quasi inviolable que leur impose le processus étroitement limité de la reproduction et de la multiplication. Tout animal ne s’accouple qu’avec un congénère de la même espèce : la mésange avec la mésange, le pinson avec le pinson, la cigogne avec la cigogne, le campagnol avec le campagnol, la souris avec la souris, le loup avec la louve, etc. »
Hitler, Mein Kampf, p. 283
Le peuple et la race (2)
A. »La nature soumet les faibles à des conditions d’existence rigoureuses qui limitent leur nombre…
Si elle ne souhaite pas que les individus faibles s’accouplent avec les forts, elle veut encore moins qu’une race supérieure se mélange avec une inférieure, car, dans ce cas, la tâche qu’elle a entreprise depuis des milliers de siècles pour faire progresser l’humanité serait rendue vaine d’un seul coup.
…
B.En résumé, le résultat de tout croisement de races est toujours le suivant :
– abaissement du niveau de la race supérieure ;
– régression physique et intellectuelle, et, par suite, apparition d’une sorte de consomption dont les progrès sont lents mais inévitables.
Amener un tel processus n’est autre chose que pécher contre la volonté de l’Eternel, notre Créateur.
…
Ici intervient, il est vrai, l’objection spécifiquement judaïque aussi comique que niaise, du pacifiste moderne : « L’homme doit précisément vaincre la nature ! »
En réalité, l’homme n’a encore vaincu la nature sur aucun point… »
Hitler, Mein Kampf, p.285-286
L’Aryen, fondateur de la civilisation
A. »Ce serait une vaine entreprise que de discuter sur le point de savoir quelle race ou quelles races ont primitivement été dépositaires de la civilisation humaine et ont, par la suite, réellement fondé ce que nous entendons par humanité. Il est plus simple de se poser la question en ce qui concerne le présent, et sur ce point, la réponse est facile et claire. Tout ce que nous avons aujourd’hui devant nous de civilisation humaine, de produits de l’art, de la science et de la technique est presque exclusivement le fruit de l’activité créatrice des Aryens.
B. Ce fait permet de conclure par réciproque, et non sans raison, qu’ils ont été seuls les fondateurs d’une humanité supérieure et, par suite, qu’ils représentent le type primitif de ce que nous entendons sous le nom d’ »homme ». L’Aryen est le Prométhée de l’humanité, l’étincelle divine du génie a de tout temps jailli de son front lumineux ; il a toujours allumé à nouveau ce feu qui, sous la forme de la connaissance, éclairait la nuit recouvrant les mystères obstinément muets et montrait ainsi à l’homme le chemin qu’il devait gravir pour devenir le maître des autres êtres vivants sur cette terre. Si on le faisait disparaître, une profonde obscurité descendrait sur la terre ; en quelques siècles, la civilisation humaine s’évanouirait et le monde deviendrait un désert. »
Hitler, Mein Kampf, p. 289
Un destin
A. »Une heureuse prédestination m’a fait naître à Braunau-am-Inn, bourgade située précisément à la frontière de ces deux Etats allemands dont la nouvelle fusion nous apparaît comme la tâche essentielle de notre vie, à poursuivre par tous les moyens.
L’Autriche allemande doit revenir à la grande patrie allemande et ceci, non pas en vertu de quelconques raisons économiques. Non, non : même si cette fusion, économiquement parlant, est indifférente ou même nuisible, elle doit avoir lieu quand même. Le même sang appartient à un même empire.
B. Le peuple allemand n’a aucun droit à une activité politique coloniale tant qu’il n’aura pas pu réunir ses propres fils en un même Etat. Lorsque le territoire du Reich contiendra tous les Allemands, s’il s’avère inapte à les nourrir, de la nécessité de ce peuple naîtra son droit moral d’acquérir des terres étrangères. La charrue fera place alors à l’épée, et les larmes de la guerre prépareront les moissons du monde futur. »
Hitler, Mein Kampf, p. 17
La psychologie de la masse
A. »L’âme de la masse n’est accessible qu’à tout ce qui est entier et fort.
De même que la femme est peu touchée par des raisonnements abstraits, qu’elle éprouve une indéfinissable aspiration sentimentale pour une attitude entière et qu’elle se soumet au fort tandis qu’elle domine le faible, la masse préfère le maître au suppliant, et se sent plus rassurée par une doctrine qui n’en admet aucune auprès d’elle, que par une libérale tolérance.
B. La tolérance lui donne un sentiment d’abandon ; elle n’en a que faire. Qu’on exerce sur elle un impudent terrorisme intellectuel, qu’on dispose de sa liberté humaine : cela lui échappe complètement, et elle ne pressent rien de toute l’erreur de la doctrine. Elle ne voit que les manifestations extérieures voulues d’une force déterminée et d’une brutalité auxquelles elle se soumet toujours. »
Hitler, Mein Kampf, p. 50
Le marxisme
A. »La doctrine juive du marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et met à la place du privilège éternel de la force et de l’énergie, la prédominance du nombre et de son poids mort. Elle nie la valeur individuelle de l’homme, conteste l’importance de l’entité ethnique et de la race, et prive ainsi l’humanité de la condition préalable mise à son existence et à sa civilisation.
B. Admise comme base de la vie universelle, elle entraînerait la fin de tout ordre humainement concevable. Et de même qu’une pareille loi ne pourrait qu’aboutir au chaos dans cet univers au-delà duquel s’arrêtent nos conceptions, de même elle signifierait ici-bas la disparition des habitants de notre planète…
La nature éternelle se venge impitoyablement quand on transgresse ses commandements.
C’est pourquoi je crois agir selon l’esprit du Tout-Puissant, notre créateur, car :
« En me défendant contre le Juif, je combats pour défendre l’œuvre du Seigneur. »
Hitler, Mein Kampf, p. 71-72
Programme du parti national-socialiste (1920)
1.- Nous exigeons, nous fondant sur les droits des peuples à disposer d’eux-mêmes, la réunion de tous les Allemands en une Grande Allemagne.
2.- Nous exigeons pour le Peuple allemand l’égalité des droits avec les autres nations, l’abrogation des traités de Versailles et de Saint-Germain.
3.- Nous exigeons des territoires pour la nourriture de notre Peuple et l’établissement de son excédent de population.
4.- Ne peut être citoyen que celui qui fait partie du Peuple. Ne peut faire partie du Peuple que celui qui est de sang allemand, quelle que soit sa confession. En conséquence, aucun Juif ne peut faire partie du peuple.
5.- Celui qui n’est pas citoyen ne peut vivre en Allemagne que comme hôte et doit être soumis à la législation applicable aux étrangers.
(…)
7.- Nous exigeons que l’Etat s’engage à assurer aux citoyens la possibilité de gagner leur vie. S’il est impossible de nourrir l’ensemble de la population de l’Etat, il faut expulser les ressortissants des nations étrangères.
9.- Tous les citoyens doivent avoir des droits égaux et des devoirs égaux.
10.- Le premier devoir de tout citoyen doit être de travailler, soit intellectuellement, soit manuellement. L’activité individuelle ne doit pas s’exercer en opposition aux intérêts de la Communauté, mais dans le cadre de cette Communauté et pour l’utilité de tous.
11.- La suppression de tout revenu obtenu sans travail, ni peine, l’abolition de la servitude des intérêts.
12.- Considérant les sacrifices énormes en biens et en vies humaines que la guerre impose au Peuple, l’enrichissement par la guerre doit être stigmatisé comme crime contre le Peuple. C’est pourquoi nous exigeons la confiscation intégrale de tous les bénéfices de guerre.
13.- Nous exigeons l’étatisation de toutes les entreprises groupées en trusts.
14.- Nous exigeons la participation de tous aux bénéfices des grandes entreprises.
15.- Nous demandons une augmentation substantielle des pensions des retraités.
16.- Nous exigeons la création et le maintien d’une classe moyenne saine, l’expropriation par les communes des grands magasins qui devront être loués à bas prix aux petits commerçants; que l’on tienne le plus grand compte des petits fournisseurs pour les commandes de l’Etat, des Etats et des Communes.
17.- Nous exigeons une réforme agraire adaptée à nos besoins nationaux, la publication d’une loi permettant l’expropriation du sol sans indemnité pour des besoins d’intérêt général, la suppression des hypothèques sur biens-fonds et l’interdiction de toute spéculation sur les terrains.
(…)
23.- Nous exigeons que la loi combatte le mensonge politique conscient et sa diffusion par la presse (…). Les journaux dont l’action est contraire à l’intérêt général doivent être interdits (…).
24.- Nous exigeons la liberté de toutes les confessions religieuses dans l’Etat, à condition qu’elles ne mettent pas en danger son existence, ni ne heurtent le sentiment ou la morale de la race allemande. Le Parti se place sur le terrain d’un christianisme positif sans se lier confessionnellement à un dogme précis. Il combat l’esprit judéo-matérialiste en nous et en dehors de nous, et il est convaincu qu’un assainissement durable de notre Peuple ne peut être obtenu que si chacun est intimement convaincu de ce principe essentiel : l’intérêt général prime l’intérêt particulier.
25.- Pour l’exécution de ce programme, nous exigeons : la création d’un pouvoir central fort dans le Reich, l’autorité absolue du Parlement politique sur l’ensemble du Reich et sur toutes les organisations; l’institution de Chambres corporatives et professionnelles chargées de l’application dans les Etats des lois générales édictées par le Reich.
Les chefs du Parti promettent de se dépenser sans compter pour la réalisation de ce programme, au besoin au péril de leur vie.
Citations d’Hitler
« Le même sang appartient au même empire. »
» Mon talent de dessinateur était indiscutable. »
« J’en étais arrivé à séparer patriotisme dynastique et nationalisme de race. »
« Il faut établir des bases meilleures de notre développement en s’inspirant d’un profond sentiment de responsabilité sociale. Anéantir avec une décision brutale les rejetons non améliorables (…) »
« Mis en contact avec le parti social-démocrate, quelques mois suffirent pour me faire comprendre quelle peste se dissimulait sous un masque de vertu sociale et d’amour du prochain, et combien l’humanité devrait sans tarder en débarrasser la terre, sans quoi la terre pourrait bien être débarrassée de l’humanité. »
« La masse préfère le maître au suppliant, et se sent plus rassurée par une doctrine qui n’en admet aucune autre près d’elle, que par une libérale tolérance. »
« Seule la connaissance de ce que sont les Juifs donne la clef des buts dissimulés, donc réellement poursuivis par la social-démocratie. »
« Les faits à la charge de la juiverie s’accumulèrent à mes yeux quand j’observai son activité dans la presse, en art, en littérature et au théâtre (…) C’était une peste, une peste morale, pire que la peste noire de jadis, qui, en ces endroits, infectait le peuple. »
« Le Juif n’est pas un Allemand, je le savais définitivement pour le repos de mon esprit. Je connaissais enfin le mauvais génie de notre peuple. »
« La doctrine juive du marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et met à la place du privilège éternel de la force et de l’énergie, la prédominance du nombre et de son poids mort. Elle nie la valeur individuelle de l’homme, conteste l’importance de l’entité ethnique et de la race, et prive ainsi l’humanité de la condition préalable mise à son existence et à sa civilisation. »
« On ne saurait assez s’élever contre l’idée absurde que le génie pourrait être le fruit du suffrage universel. »
http://www.yrub.com/histoire/nsdap.htm