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12 février 2013

Rupture sino-soviétique (1960)

milguerres @ 19 h 36 min

 

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Guerre froide – Cold War – Halodnaïa vaïna

Bloc de l’Est 

Rupture sino-soviétique (1960)

 

La Chine refuse cette politique de coexistence pacifique que Mao Zedong et les autres dirigeants chinois jugent trop conciliante à l’égard de l’Ouest. Les tensions iront en croissant jusqu’à la rupture symbolisée par l’affrontement ouvert des deux grandes nations communistes au cours du Congrès du parti communiste roumain en juin 1960, où Khrouchtchev et le représentant chinois Peng Zhen s’affrontèrent ouvertement. En Europe, la République populaire d’Albanie se détacha du bloc Soviétique et soutint les thèses chinoises. Elle se retira de fait du Pacte de Varsovie.

Deuxième crise de Berlin (1961)

Entre 1949 et 1961, 3,6 millions d’Allemands de l’Est transitèrent par Berlin pour passer en RFA. Cette hémorragie démographique était un désastre économique pour la RDA, car c’étaient surtout des ingénieurs, des médecins et des ouvriers spécialisés qui commirent le « délit de fuite » (Republikflucht). En même temps, elle était une catastrophe politique en ce qu’elle portait atteinte à l’image de marque officielle de la RDA.

En novembre 1958, cette situation donna lieu à une crise diplomatique connue sous le nom d’« ultimatum de Khrouchtchev » et dans laquelle furent impliquées toutes les puissances occidentales. En juin 1961, Kennedy et Khrouchtchev se rencontrent à Vienne. Khrouchtchev annonce qu’il va signer un traité de paix avec la RDA, ce qui priverait les États-Unis de leur accès à Berlin-Ouest. Kennedy juge la situation inacceptable et la conférence ne mène à rien. Khrouchtchev envoie son armée devant Berlin-Ouest. Kennedy riposte en étalant les chars américains devant les forces soviétiques et en augmentant le budget militaire américain. Khrouchtchev recule son armée sous la pression.

Le 13 août 1961, la construction du mur de Berlin entre le secteur soviétique et les trois secteurs occidentaux met fin à ce « débauchage systématique de citoyens de la République démocratique allemande »36. Mais, étant donné que les autorités est-allemandes et soviétiques ne firent aucune tentative pour bloquer les voies de communication entre la RFA et Berlin-Ouest et que, par ailleurs, Khrouchtchev ne mit pas en question le statut quadripartite de la ville, la réaction des Occidentaux se limita à des protestations verbales et à des gestes symboliques : la visite à Berlin-Ouest du général Lucius D. Clay, l’organisateur du pont aérien, et le renforcement de la garnison américaine par 1 500 hommes. En effet, aux yeux des Occidentaux, la construction du mur ne constituait qu’une agression à l’égard des Allemands de l’Est et ne menaçait pas les three essentials (c’est-à-dire les intérêts essentiels) du bloc de l’Ouest37.
Crise de Nouvelle-Guinée entre l’Indonésie et les Pays-Bas (1962)[modifier]
Articles détaillés : Nouvelle-Guinée néerlandaise et Bataille de la mer d’Arafura.

En 1962, un conflit peu médiatisé opposant l’Indonésie à son ancienne puissance coloniale, les Pays-Bas au sujet du statut de la Nouvelle-Guinée néerlandaise faillit voir l’entrée en guerre de la marine soviétique au côté de l’Indonésie le 5 août 196238. Cette région fut finalement transférée à l’Indonésie après l’accord de New York.

Crise de Nouvelle-Guinée entre l’Indonésie et les Pays-Bas (1962)

En 1962, un conflit peu médiatisé opposant l’Indonésie à son ancienne puissance coloniale, les Pays-Bas au sujet du statut de la Nouvelle-Guinée néerlandaise faillit voir l’entrée en guerre de la marine soviétique au côté de l’Indonésie le 5 août 196238. Cette région fut finalement transférée à l’Indonésie après l’accord de New York.

Crise des missiles cubains (1962)

La crise des missiles cubains39 met plus nettement en évidence la menace d’une guerre nucléaire. En janvier 1959, les guérilleros de Fidel Castro avaient renversé le dictateur Fulgencio Batista, soutenu par les États-Unis. Le nouveau régime prit une série de mesures qui lui valurent l’hostilité croissante de Washington : en 1959, démantèlement des latifundia ; signature d’un accord commercial avec l’Union soviétique en mai 1960, après la réduction des achats de sucre cubain par les États-Unis ; en juin et juillet, confiscation des entreprises nord-américaines, qui contrôlaient, outre la totalité des raffineries de pétrole, 40 % de l’industrie sucrière, 80 % du tabac et 90 % des mines40.

À titre de représailles, le gouvernement américain, soumis entre autres à la pression des milieux d’affaires, mit en place un embargo économique de l’île en octobre 1960 et, le 2 janvier 1961, il rompit les relations diplomatiques avec La Havane. En même temps, la CIA recrutait des « forces anticastristes » parmi les réfugiés cubains. Au début du mois d’avril, Kennedy donna son accord à un projet d’invasion de l’île, tout en refusant d’engager des troupes américaines et en limitant les effectifs à 1 200 Cubains. Le débarquement, qui eut lieu le 17 avril 1961 dans la Baie des Cochons, fut un désastre. Kennedy se déclare seul responsable, mais, en privé, accuse la CIA de lui avoir menti et de l’avoir manipulé. Le président se brouille avec l’agence. La CIA œuvre désormais clandestinement contre Castro, en collaborant avec la Mafia, ce qui frustra Kennedy.

En juillet 1961, Cuba signifie son appartenance au « bloc socialiste ». Le 4 septembre 1962, le pays conclut un accord d’assistance militaire avec l’Union soviétique et, une semaine plus tard, Moscou déclare que toute attaque contre Cuba provoquerait une riposte nucléaire. Le Congrès américain pour sa part vote le 3 octobre une résolution qui met en demeure contre toute « action subversive dans l’hémisphère occidental ». Kennedy interdit cependant l’opération Northwoods mise au point et proposée par l’état-major, laquelle prévoyait d’orchestrer une série d’attentats contre les États-Unis, puis d’en accuser Cuba afin de mobiliser l’opinion publique contre Castro.

En novembre 1961, les États-Unis déploient 15 missiles Jupiter en Turquie et 30 autres en Italie, lesquels sont capables d’atteindre le territoire soviétique.

Le 14 octobre 1962, un avion américain Lockheed U-2 photographie sur l’île de Cuba des rampes de lancement pour missiles nucléaires à moyenne portée (IRBM et MRBM), capables d’atteindre le territoire américain. En même temps, la Maison Blanche apprend que 24 cargos soviétiques transportant des fusées et des bombardiers Iliouchine font route vers Cuba (opération Anadyr).

Dans la journée du 22, Kennedy, après avoir hésité entre l’inaction et le bombardement des rampes de lancement, se décide pour le blocus maritime de l’île. Cette « riposte graduée », proportionnée à la menace, laisse à Khrouchtchev le choix entre l’escalade ou la négociation: « Si les Etats-unis veulent la guerre, alors, nous nous retrouverons en Enfer! ». Mais Kennedy utilise la plus grande fermeté, afin de forcer Khrouchtchev à reculer. Le 24 octobre, les premiers cargos soviétiques font finalement demi-tour. Moscou ne peut contacter immédiatement les sous-marins armés de torpilles à tête nucléaire (opération Kama) qui accompagnent le convoi avec mission de le protéger (fait qui ne sera révélé qu’en 2001). Entre-temps, un arrangement permettant à Khrouchtchev de sauver la face est négocié en coulisse entre émissaires officieux. Le 26 et le 27 octobre, dans deux messages, le Kremlin propose le retrait des armes offensives ; en contrepartie, les Américains devraient s’engager à ne pas renverser le régime cubain et à retirer leurs missiles nucléaires installés en Turquie, et pointés vers l’URSS. Le 28 octobre, Kennedy accepte ce compromis in extremis. Il demande toutefois de cacher le fait que les États-Unis retiraient leurs missiles de Turquie. Khrouchtchev accepta, et il crut avoir gagné la partie. Or, il avait été dupé. Kennedy avait décidé de retirer les missiles de Turquie bien avant la crise. De plus, la reculade de Khrouchtchev l’a humilié devant Castro, Mao Zedong et les autres chefs communistes. C’est décidément Kennedy qui a gagné la partie, en plus il voit sa popularité et son prestige mondial monter en flèche. Kennedy dira néanmoins après cette crise diplomatique qu’il a « négocié au bord du gouffre ».

Le dénouement de la crise fut un succès politique pour les États-Unis, quoiqu’ils doivent tolérer un pays communiste à l’intérieur de leur « périmètre de défense ». D’autre part, cette « diplomatie au bord du gouffre » avait effrayé « jusqu’aux plus hauts décideurs, au point de les rappeler à un comportement rationnel. »41 L’installation d’un téléphone rouge, ligne directe entre Moscou et Washington, et l’ouverture de négociations sur la limitation des armements concrétisèrent ce retour à la rationalité. Kennedy, devenu encore plus populaire, change la politique de son pays vers un plan un peu plus pacifique. Mais il n’a pas le temps de mettre en place toutes ses idées : le 22 novembre 1963, en voyage à Dallas, au Texas, Kennedy parade dans les rues de la ville en limousine décapotable. Lors du défilé, il est assassiné en pleine gloire par un tireur d’élite embusqué, et ce devant les yeux horrifiés de la foule. Khrouchtchev, quant à lui, sort très affaibli de la crise. En 1964, il fut remplacé par Brejnev.

« Détente » (1963-1976)

Rapprochement entre les États-Unis et l’Union soviétique

Au lendemain de la crise des missiles cubains, les États-Unis et l’URSS décident de se rapprocher pour maîtriser, dans un esprit de transparence, un équilibre désormais fondé sur une « destruction mutuelle assurée » (MAD pour Mutual assured destruction en anglais). Dès juin 1963, un « téléphone rouge », liaison permanente par téléscripteur entre le Kremlin et la Maison-Blanche, leur permet de se concerter immédiatement et d’éviter ainsi une diplomatie « au bord du gouffre ».

L’assassinat de John F. Kennedy à Dallas le 22 novembre 1963 bouleverse la planète, partout les gens pleurent ce jeune président, URSS comprise. Le successeur de Kennedy, Lyndon Johnson, s’engage à poursuivre la détente. Johnson va cependant définitivement engager son pays dans la guerre du Viêt Nam.

Les mobiles de la détente sont multiples. Il y a d’abord à l’évidence la volonté de se dégager d’une course aux armements de plus en plus coûteuse, et absurde en raison de la « capacité de surextermination » (overkill) des arsenaux nucléaires ; par ailleurs, l’URSS est contestée par la République populaire de Chine, la rupture sino-soviétique permettant, dans le cadre d’une diplomatie désormais triangulaire, un rapprochement sino-américain ; en même temps, en raison d’une économie qui stagne, l’URSS a besoin d’une aide extérieure que les États-Unis lient à des accords politiques (le linkage de Henry Kissinger) ; et enfin, les États-Unis, de leur côté, sont engagés dans la guerre du Viêt Nam qui absorbe une part excessive du budget américain : d’où le désir des deux « adversaires-partenaires » (Raymond Aron) d’aboutir à une gestion raisonnable de la guerre froide.

Confronté à une intense agitation intérieure (Convention nationale démocratique de 1968, mouvement hippie, etc.), Nixon énonce la doctrine Nixon en 1968, qui décide une réduction de l’engagement militaire direct du Pentagone dans le monde, celui-ci optant de plus en plus pour un interventionnisme discret, via les forces spéciales, et des « guerres proxy » (par intermédiaire). Dans le même temps, la Realpolitik de Kissinger admet l’existence de l’URSS et le dialogue nécessaire, en même temps de l’usage de la carotte et du bâton. En 1971, la publication des Pentagon Papers choque les Américains, qui découvrent les opérations secrètes de la CIA. Le « Credibility gap » (manque de crédibilité), bien réel celui-là, vient remplacer le « Missile gap » et le « Bomber gap » fortement exagérés par les forces armées américaines42.

Accords nucléaires

En août 1963, les États-Unis, l’Union soviétique et de nombreux pays signent le traité de Moscou, qui interdit les essais nucléaires atmosphériques et sous-marins.

En janvier 1968, par le traité de non-prolifération nucléaire (TNP), issu d’un projet conjoint américano-soviétique présenté à la Commission du désarmement à Genève, ils s’engagent, ensemble avec le Royaume-Uni, à ne transférer ni armes ni technologies nucléaires aux États non dotés d’armes nucléaires (ENDAN).

En mai 1972, les accords SALT I (Strategic Armements Limitation Talks), signés par Nixon et Brejnev, limitent les armements défensifs anti-missiles (ABM) à deux sites pour chacun des deux pays et gèlent pour une durée de cinq ans les armes nucléaires offensives, c’est-à-dire les rampes de lancement fixes pour missiles intercontinentaux (ICBM) et les missiles installés sur sous-marins (SLBM)43.
« Détente » en Europe (1962-1975)[modifier]

Dans chacun des deux blocs, pro-soviétique et pro-américain, les deux superpuissances sont contestées. Le modèle soviétique est contesté en Europe de l’Est. En août 1968 la Tchécoslovaquie est envahie par les troupes du pacte de Varsovie : le Printemps de Prague prend brutalement fin, la doctrine Brejnev de 1968 qui énonce une « souveraineté limitée » pour les pays du bloc de l’Est justifiant ainsi l’intervention de Moscou.

À l’Ouest, De Gaulle prend ses distances avec les États-Unis et l’OTAN, en se retirant du commandement intégré de l’Alliance atlantique en 1966. La France continue néanmoins à être membre de l’OTAN mais le siège de l’organisation militaire quitte le pays. Autre geste spectaculaire illustrant la politique d’indépendance nationale menée par de Gaulle, la France et la République populaire de Chine annoncent le 27 janvier 1964 l’établissement de relations diplomatiques. Cependant, lors des crises majeures, comme Cuba ou Berlin, la France continuera de faire bloc avec ses alliés de l’Ouest.

En 1969, Willy Brandt devient chancelier de la RFA et engage une politique de rapprochement et d’ouverture à l’Est, l’« Ostpolitik », rompant ainsi avec la doctrine Hallstein de non-reconnaissance de la RDA. Les deux États se reconnaissent mutuellement en 1972 et entrent à l’ONU en 1973.

En 1975, les accords d’Helsinki44 sont signés par 33 États européens, URSS comprise dans la somme, le Canada et les États-Unis. Les accords doivent permettre la coopération entre les États, la libre circulation des personnes et le respect des droits de l’homme.
République populaire de Chine, troisième Grande puissance[modifier]

La cohésion apparente du « bloc communiste » se fissure à partir de la rupture sino-soviétique, qui voit ces deux régimes s’affronter sur le terrain idéologique et diplomatique.

Le risque d’une guerre entre ces deux géants fut pris très au sérieux lors du conflit frontalier sino-soviétique de 1969. Constatant que Pékin ne pouvait affronter à la fois Moscou et Washington, Mao choisit de se rapprocher des États-Unis. La proximité géographique de l’URSS posait en effet selon lui une menace autrement plus grande que les États-Unis.

Afin d’affaiblir l’Union soviétique, les États-Unis saisissent la balle au bond et se rapprochent de la République populaire de Chine alors qu’elle se lance dans une course aux armements (bombe A le 16 octobre 1964, bombe H le 14 juin 1967). Nixon cherche à isoler davantage l’Union soviétique, surtout dans le tiers monde.

L’équipe de ping-pong des États-Unis fait un voyage en Chine le 10 avril 1971 : c’est la « ping pong diplomacy ». Le 25 octobre 1971, sous la pression des États-Unis, l’ONU reconnaît la Chine populaire qui siège désormais au Conseil de sécurité (76 voix pour, 35 contre, 17 abstentions) à la place de Taïwan, qui quitte l’ONU en signe de protestation. Enfin, le président Nixon, invité par Mao Zedong, se rend en Chine (février 1972).

Malgré l’antiaméricanisme d’une grande partie de l’administration chinoise, les relations stratégiques et économiques avec les États-Unis prennent de plus en plus d’ampleur. Le conseiller à la sécurité nationale du président Carter, Zbigniew Brzezinski, négocie avec Deng Xiaoping pour installer des bases servant au renseignement d’origine électromagnétique (SIGINT) en Chine, afin d’écouter l’URSS45. La répression des manifestations de la place Tian’anmen, en 1989, a conduit à freiner cette collaboration.

Limites de la « détente »

Les deux Grands sont impliqués dans des conflits importants. Tous deux mènent une lutte d’influence dans les pays du tiers monde : c’est ce que l’on nomme les « conflits périphériques » ou « affrontements indirects ».

De 1964 à 1975, la guerre du Viêt Nam oppose indirectement les grandes puissances. Les États-Unis s’engagent militairement au Viêt Nam à partir de 196246.

Les États-Unis soutiennent de nombreux pays indépendamment de leur type de gouvernement (y compris des dictatures), dans le cadre de la doctrine de l’endiguement envers l’URSS, et provoquent ou favorisent plusieurs coups d’État à travers les opérations Ajax, PBSUCCESS et FUBELT (en). En Amérique latine, le régime castriste soutient des guérillas révolutionnaires, qui se soldent par des échecs. Un exemple connu en est la la tentative ratée de révolution menée par Che Guevara (dirigeant cubain) en Bolivie, où il trouvera la mort en 1967.

Guerre du Viêt Nam

La guerre du Viêt Nam (aussi appelée « deuxième guerre d’Indochine ») est une guerre qui a opposé de 1959 à 1975, d’une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) et son armée populaire vietnamienne – soutenue matériellement par le bloc de l’Est et la Chine – et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), face à, d’autre part, la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l’armée des États-Unis à partir de 1964, à la suite des incidents du golfe du Tonkin appuyé par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines). La guerre civile laotienne et la guerre civile cambodgienne sont des conflits annexes s’étant déroulés en parallèle, et sur lesquels la guerre du Viêt Nam a eu un impact décisif.

NOTES 
↑ Déclaration du Conseil des ministres de la RDA, citée par Heinrich A. Winkler, Histoire de l’Allemagne, Fayard, 2000, p. 625
↑ ibid.
↑ Sous-marins soviétiques et US Navy, Alexandre Mozgovoï, Marines éditions, 2003, (ISBN 2909675947), p. 45-46
↑ Cuba – Castro, communisme et crise des missiles [archive]
↑ Bernard Droz et Anthony Rowley, Histoire générale du XXe siècle, Éditions du Seuil, 1987, tome III, p. 218
↑ E. Hobsbawm, L’Âge des extrêmes, Éditions Complexe, 1994, p. 308
↑ Dwayne A. Day, Of myths and missiles: the truth about John F. Kennedy and the Missile Gap [archive], The Space Review, 3 janvier 2006
↑ En 1968, les États-Unis et l’URSS engagent des négociations sur la limite d’armes stratégiques (Strategic Arms Limitations Talks). Les accords SALT. [archive]
↑ Le 30 octobre 1973, des pourparlers commencent à Vienne entre 12 pays de l’OTAN et 7 du pacte de Varsovie en vue de la réduction mutuelle des forces et armes stationnées en Europe centrale. Deux ans plus tard tous les pays d’Europe, sauf l’Albanie, participent à la conférence d’Helsinki sur la sécurité et la coopération en Europe. Elle aboutit aux accords d’Helsinki, signé le 1er août 1975. Ils sont souvent considérés comme le point culminant de la détente. …Les accords d’Helsinki [archive]
↑ «Nous avons fait le choix de tout savoir», entretien avec Zbigniew Brzezinski, par Vincent Jauvert, dans Le Nouvel Observateur no 1779, 10 décembre 1998
↑ Le Viêt Nam du nord est un régime communiste qui possède l’aide de l’URSS. Le Viêt Nam du sud est à la base une démocratie, mais son gouvernement est dictatorial, il est appuyé par les États-UnisLa guerre du Viet-Nam [archive]

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